(3) Voir Habiter l'infini, Travailler en c(h)oeur et plus généralement le bâtiment actif (), Eric Cassar, Arkhenspaces (4) Voir les « Degree of Life » définis par l'architecte Christopher Alexander dans The phenomenon of life (5) Du champ de trace au chant des traces, Eric Cassar (6) Mille plateaux, Felix Guattari et Gilles Deleuze (7) Voir les travaux de Vladimir Vernadsky. La biosphère est l'espace physique occupé par/de la vie. La noosphère est l'espace de la pensée.
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Accueil > Archives pour Eric Cassar L'inspiration de Frank Gehry pour la Fondation Luma à Arles (Bouches-du-Rhône) est-elle à chercher dans le jardin aux merveilles de la Villa André Bloc, à Meudon (Hauts-de-Seine)? (Re)découverte.... [Lire la suite] Regarder sa discipline à travers le prisme d'autres disciplines fait apparaître convergences et divergences, émerger interrogations et nouvelles propositions. Du générique de cinéma au générique d'architecture: responsabilité & reconnaissance.... [Lire la suite] Si la construction est aisée, l'architecture est un art à la réalisation complexe, s'apparentant parfois à un sport de combat! « L’architecture intergénérationnelle implique de remettre à plat nos habitudes ». * A cela au moins trois raisons.... [Lire la suite] La formule aide à lire et agit sur le lieu, elle le compose temporairement. Son écriture participe à la conception de l'œuvre. Elle aura une incidence sur l'apparence du bâtiment mais aussi sur son écho, son utilisation (faire résonner l'instrument) et la manière dont il est perçu, approprié. (Fin)*... [Lire la suite] Il est possible de formuler les modalités d'évolution du vivant (végétal et animal), des actions-réactions, des matières en relation avec l'architecture.
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Cette sphère n'est jamais autonome (sauf effet exceptionnel revendiqué – chaque règle contient son exception –) car l'instrument d'environnements agit sur/avec l'environnement. Il est toujours un élément, un outil qui échange et se rattache plus ou moins intensément aux meta-milieux associés, à la fois la biosphère et la noosphère (7). Eric cassar architecte sur. (A suivre)
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Ce texte publié en trois volets est le second d'un triptyque dont le premier est accessible ici: Du champ de traces au chant des traces
(1) Depuis Yves Klein et l'architecture de l'air, où la connotation était positive: recréer l'« Eden », jusqu'à la prolifération des environnements contrôlés décriés par Rem Koolhass: les Junkspaces. (2) L'habitant d'un lieu n'est pas uniquement celui d'un habitat. Il est ici celui qui gère le lieu, l'entretient, en prend soin, que ce soit pour lui-même ou pour les autres, par lui-même ou par procuration. Celui qui habite régulièrement un musée, qui y travaille comme le gardien, le « chef d'orchestre » ou le régisseur de l'espace, celui qui est en charge de son bon fonctionnement.
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Rencontres / Publié le 13 Mai 2019
Créer de nouveaux langages et de nouvelles harmonies, faire entrer la faune et la flore au cœur de la ville, en créant des "tranches" de forêts… Éric Cassar milite pour une ville sensible, à la fois belle et qui nous touche. Interview réalisée lors du lancement du Club 4114 de Technal à la Philharmonie de Paris, où l'architecte donnait une conférence sur le thème « Des villes sensibles aux architectures subtiles ». Votre navigateur ne prend pas en charge ce type de fichiers
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Définir l'architecture comme instrument d'environnements ne désigne pas pour autant le champ instrumental. L'origine du jeu (l'action) peut puiser autour de nombreuses sources. Comme il existe des centaines de types d'instruments de musique, il doit pouvoir exister une infinité de types d'instruments d'environnements. Eric cassar architecte y. Même si des familles se constitueront, chaque instrument, chaque ar(t)chitecture différera, jouant davantage avec les sons, les déplacements physiques, les mémoires numériques, le climat, les émotions, l'affluence, les rencontres, etc. Ainsi le travail de l'architecte ne crée plus seulement un décor utile mais un décor unique, actif, activable par plusieurs « sujets »: humains, vivants et non vivants. Le jeu
L'instrument doit pouvoir accueillir, combiner, jouer avec le prévisible, l'imprévisible et les actions d'acteurs multiples et divers. Même si certaines règles du jeu dépendent de l'instrument lui-même c'est-à-dire de l'architecture (physique et numérique) du lieu. Il se joue généralement à plusieurs: – les habitants (2): propriétaires, gestionnaires, ou occupants.
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Son absence favorise alors l'enfermement et l'aliénation. L'appauvrissement du milieu physique et sa standardisation entraînent dans leurs sillages un lissage et un étiolement des pensées et des individus. Eric cassar architecte b. Réduire aujourd'hui l'architecture à une coquille inerte, uniforme parce qu'optimisée pour ne répondre qu'à de simples attentes normalisées, souvent à un nombre de m² et une performance énergétique, induit des carences, produit un mal-être sous-jacent et représente un danger pour l'évolution des sociétés humaines (7). Il est temps de tourner la page, revaloriser l'a-normalité qui favorise la ré-ouverture des regards. L'ar(t)chitecture instrument d'environnements doit aider (en complément des jardins ou des espaces « naturels » ou en libre évolution), à travers des environnements plus divers, plus subtils, plus parfumés, à produire un nouvel équilibre entre les milieux physiques et virtuels.
Ainsi l'open space, qui s'est généralisé, questionne. La doxa cherchant à uniformiser tous nos espaces de travail s'épuise. Une des réponses, nous l'avons vu, s'exprime dans la possible variation de la limite, qu'elle soit physique ou virtuelle. C'est ce que nous avons montré dans « Travailler en c(h)oeur » (nouveaux environnements de travail à l'ère numérique), où la démocratisation du flex-office, combinée à une augmentation des typologies d'atmosphères, s'accompagne d'une plus grande flexibilité des espaces déployés en réseau (ajustables dans l'espace et dans le temps). Renouveler
La crise que nous traversons doit nous apprendre à préserver et accroître la diversité de nos modèles. Une attitude écologique demande de réduire drastiquement notre bilan carbone et donc une partie de nos déplacements. L'expérience de confinement que nous vivons est une occasion pour mettre en place de nouvelles habitudes. Elle invite aussi à imaginer, tester et développer de nouvelles typologies de relations et d'espaces, depuis l'établissement scolaire jusqu'au musée en passant par l'hôpital, l'hôtel, le théâtre, l'habitat, le commerce, la gare, le bureau ou l'aéroport; tout en identifiant et tirant profit des synergies possibles entre ces différents programmes.